Bonjour à toutes et à tous,
Comme suite à mes nombreux problèmes avec mon Néovan Rapido Campérêve je me suis interrogé sur sa conformité aux réglementations en vigueur. A la lecture de ces textes et l’analyse de mon véhicule j’ai décidé de le faire expertiser par Bureau Veritas pour la partie gaz et ai fait appel à un huissier de justice pour constatation des autres « anomalies » révélées.
Mon Néovan Rapido Campérêve a été déclaré non conforme par Bureau Veritas.
Ci-dessous les liens vers ces rapports :
http://www.fichier-rar.fr/2015/10/01/faux-pv-gaz-mon-rapido-campereve-neovan-non-conforme/
http://www.fichier-rar.fr/2015/10/01/veritas-mon-rapido-campereve-neovan-non-conforme/
http://www.fichier-rar.fr/2015/10/01/huissier-mon-rapido-campereve-neovan-non-conforme/
Ces constats confirment mes doutes sur le sérieux de la fabrication de mon Néovan ne serait-ce que le certificat de conformité délivré par Rapido Campérêve, je ne relève pas moins de 6 « anomalies » :
-La réception d’un système de commutation gaz inexistant
-La réception le 18 juillet d’un détendeur gaz fabriqué en septembre de la même année
-Les caractéristiques inexactes du réfrigérateur
-L’absence du numéro de série du réfrigérateur, rien ne prouve que c’est l’appareil sinistré qui a été « testé » si il y a eu test
-Une plaquette de contrôle déclarée donnée à l’acheteur mais inexistante
-Le manque d’information du premier propriétaire concernant les révisions du réfrigérateur.
L’expertise et le constat ont été faits suivant les normes NF EN 721, NF EN 1949, NF EN 1949/A1, NF EN 1646-1 et NF EN 1646-2.
Tout le constat d’huissier ne relève pas de ces normes, les photos 1,2,3,4,5,6 et 7 posent la question sur l’état neuf du réfrigérateur sinistré lors de son installation en usine, il convient également d’ajouter que la cheminée n’était pas raccordée sur l’extérieur. La preuve a été apportée dans les précédents posts que le frigo a été monté de la sorte en usine.
Photos 13 et 14
Non conforme à l’article 5.3.2 de la norme EN 1646
Photo 15
Non conforme à l’article 7.2.3 de la norme EN 1646
Photos 16 à 22
Non conforme à l’article 5.2.3 de la norme EN 721, cette non-conformité est indiquée dans le rapport Bureau Veritas.
Photos de 23 à 28
Non conforme aux articles 4.2.4 et 5.2.3 de la norme EN 1648
Photo 29
Non conforme à l’article 5.2.4 de la norme EN 1648
Photos 30,31 et 32
Non conforme à l’article 5.2.6 de la norme EN 1648
Photos de 33 à 37
Non conforme à l’article 6.4 de la norme EN 1648
Photos 38 et 39
Non conforme à l’article 7.3 de la norme EN 1648
Photos 40 à 46
Non conforme à l’article 8 de la norme EN 1648
Non conforme à l’article 5.1 de la norme EN 1949, cette non-conformité est indiquée dans le rapport Bureau Veritas.
Photos 47 et 48
Une des nombreuses « anomalies « du certificat de conformité rédigé par Rapido Campérêve.
Photos de 49 à 51
Non conforme à l’article 8.7 de la norme EN 1949
Photo 52
Cette porte devait m’être remplacée sous 45 jours et je devais me rendre à 170 kms de mon domicile pour faire déposer et reposer 4 vis !
Elle n’a été disponible qu’au bout de 86 jours et, sur mon insistance, a été envoyée à mon domicile. Lors du montage j’ai constaté qu’elle était encore plus défectueuse que celle d’origine, plus de 10 mm de voile ; navrant, merci le SAV Rapido Campérêve !
Comme constaté précédemment mon Néovan a été assemblé dans le mépris des normes et des règles de l’art. La fabrication de mon Néovan Rapido Campérêve n’a pas la qualité de mes deux précédents Miramar Campérêve.
Rapido Campérêve sous traite la fabrication des meubles Néovan.
Lors des rares contacts avec Rapido Campérêve je n’ai rencontré que refus de toute responsabilité de leur part et mépris à mon égard. Le standard fait barrage pour obtenir une personne responsable et répond « on vous écrira ». Les réponses nient les problèmes évoqués ou contiennent de nombreuses contrevérités. Tout règlement amiable a été écarté par Rapido Campérêve, aucune reprise des malfaçons ne m’a été proposée.
Les lois et normes s’appliquent à tous y compris et surtout aux constructeurs, elles assurent la sécurité des utilisateurs contre des pratiques le plus souvent mercantiles. Les constructeurs n’ont ni le droit ni les compétences pour juger de leurs pertinences.
Il faut également savoir que les aménageurs de véhicules de loisirs ont « la qualification » pour rédiger le certificat de leur propre auto contrôle, ce qui laisse la porte grande ouverte à toutes les dérives.
Ces quelques lignes n’ont pour but que de vous informer mais peuvent contenir quelques erreurs « ce que ne manquera pas de relever Rapido Campérêve pour noyer le poisson ». Je vous invite donc à vérifier par vous-même ces écrits. Vous avez tous les éléments en main.
Bon courage et bonne chance à vous.
Bien cordialement
Christian
Ce n’est pas parce que les choses sont difficiles que nous n’osons pas, c’est parce que nous n’osons pas qu’elles sont difficiles.
Comme suite à mes nombreux problèmes avec mon Néovan Rapido Campérêve je me suis interrogé sur sa conformité aux réglementations en vigueur. A la lecture de ces textes et l’analyse de mon véhicule j’ai décidé de le faire expertiser par Bureau Veritas pour la partie gaz et ai fait appel à un huissier de justice pour constatation des autres « anomalies » révélées.
Mon Néovan Rapido Campérêve a été déclaré non conforme par Bureau Veritas.
Ci-dessous les liens vers ces rapports :
http://www.fichier-rar.fr/2015/10/01/faux-pv-gaz-mon-rapido-campereve-neovan-non-conforme/
http://www.fichier-rar.fr/2015/10/01/veritas-mon-rapido-campereve-neovan-non-conforme/
http://www.fichier-rar.fr/2015/10/01/huissier-mon-rapido-campereve-neovan-non-conforme/
Ces constats confirment mes doutes sur le sérieux de la fabrication de mon Néovan ne serait-ce que le certificat de conformité délivré par Rapido Campérêve, je ne relève pas moins de 6 « anomalies » :
-La réception d’un système de commutation gaz inexistant
-La réception le 18 juillet d’un détendeur gaz fabriqué en septembre de la même année
-Les caractéristiques inexactes du réfrigérateur
-L’absence du numéro de série du réfrigérateur, rien ne prouve que c’est l’appareil sinistré qui a été « testé » si il y a eu test
-Une plaquette de contrôle déclarée donnée à l’acheteur mais inexistante
-Le manque d’information du premier propriétaire concernant les révisions du réfrigérateur.
L’expertise et le constat ont été faits suivant les normes NF EN 721, NF EN 1949, NF EN 1949/A1, NF EN 1646-1 et NF EN 1646-2.
Tout le constat d’huissier ne relève pas de ces normes, les photos 1,2,3,4,5,6 et 7 posent la question sur l’état neuf du réfrigérateur sinistré lors de son installation en usine, il convient également d’ajouter que la cheminée n’était pas raccordée sur l’extérieur. La preuve a été apportée dans les précédents posts que le frigo a été monté de la sorte en usine.
Photos 13 et 14
Non conforme à l’article 5.3.2 de la norme EN 1646
Photo 15
Non conforme à l’article 7.2.3 de la norme EN 1646
Photos 16 à 22
Non conforme à l’article 5.2.3 de la norme EN 721, cette non-conformité est indiquée dans le rapport Bureau Veritas.
Photos de 23 à 28
Non conforme aux articles 4.2.4 et 5.2.3 de la norme EN 1648
Photo 29
Non conforme à l’article 5.2.4 de la norme EN 1648
Photos 30,31 et 32
Non conforme à l’article 5.2.6 de la norme EN 1648
Photos de 33 à 37
Non conforme à l’article 6.4 de la norme EN 1648
Photos 38 et 39
Non conforme à l’article 7.3 de la norme EN 1648
Photos 40 à 46
Non conforme à l’article 8 de la norme EN 1648
Non conforme à l’article 5.1 de la norme EN 1949, cette non-conformité est indiquée dans le rapport Bureau Veritas.
Photos 47 et 48
Une des nombreuses « anomalies « du certificat de conformité rédigé par Rapido Campérêve.
Photos de 49 à 51
Non conforme à l’article 8.7 de la norme EN 1949
Photo 52
Cette porte devait m’être remplacée sous 45 jours et je devais me rendre à 170 kms de mon domicile pour faire déposer et reposer 4 vis !
Elle n’a été disponible qu’au bout de 86 jours et, sur mon insistance, a été envoyée à mon domicile. Lors du montage j’ai constaté qu’elle était encore plus défectueuse que celle d’origine, plus de 10 mm de voile ; navrant, merci le SAV Rapido Campérêve !
Comme constaté précédemment mon Néovan a été assemblé dans le mépris des normes et des règles de l’art. La fabrication de mon Néovan Rapido Campérêve n’a pas la qualité de mes deux précédents Miramar Campérêve.
Rapido Campérêve sous traite la fabrication des meubles Néovan.
Lors des rares contacts avec Rapido Campérêve je n’ai rencontré que refus de toute responsabilité de leur part et mépris à mon égard. Le standard fait barrage pour obtenir une personne responsable et répond « on vous écrira ». Les réponses nient les problèmes évoqués ou contiennent de nombreuses contrevérités. Tout règlement amiable a été écarté par Rapido Campérêve, aucune reprise des malfaçons ne m’a été proposée.
Les lois et normes s’appliquent à tous y compris et surtout aux constructeurs, elles assurent la sécurité des utilisateurs contre des pratiques le plus souvent mercantiles. Les constructeurs n’ont ni le droit ni les compétences pour juger de leurs pertinences.
Il faut également savoir que les aménageurs de véhicules de loisirs ont « la qualification » pour rédiger le certificat de leur propre auto contrôle, ce qui laisse la porte grande ouverte à toutes les dérives.
Ces quelques lignes n’ont pour but que de vous informer mais peuvent contenir quelques erreurs « ce que ne manquera pas de relever Rapido Campérêve pour noyer le poisson ». Je vous invite donc à vérifier par vous-même ces écrits. Vous avez tous les éléments en main.
Bon courage et bonne chance à vous.
Bien cordialement
Christian
Ce n’est pas parce que les choses sont difficiles que nous n’osons pas, c’est parce que nous n’osons pas qu’elles sont difficiles.