Les détecteurs proprement dits, qui permettent de déceler la présence de radars en envoyant des ondes, sont strictement interdits. Leur utilisation est sanctionnée de manière draconienne : perte de 6 points, contravention de 1500 €, trois ans de suspension du permis et confiscation du véhicule.
Mais, depuis janvier 2012, les mêmes peines sont encourues pour l’utilisation des avertisseurs. Eux ne détectent pas les ondes des radars, mais signalent leur position, comme un GPS, grâce à une base de données mise à jour régulièrement.
Les applications sur smartphone se multiplient
Après cette interdiction, les grands acteurs de ce marché (Coyote, TomTom…) ont dû changer de stratégie. Dorénavant, ils commercialisent des « assistants d’aide à la conduite » (AAC), parfaitement légaux. Concrètement, les appareils n’indiquent plus l’emplacement précis des radars, mais annoncent la présence d’une « zone dangereuse » de 2 à 4 km… qui se recoupe souvent avec la présence d’un radar.
Mais, depuis janvier 2012, les mêmes peines sont encourues pour l’utilisation des avertisseurs. Eux ne détectent pas les ondes des radars, mais signalent leur position, comme un GPS, grâce à une base de données mise à jour régulièrement.
Les applications sur smartphone se multiplient
Après cette interdiction, les grands acteurs de ce marché (Coyote, TomTom…) ont dû changer de stratégie. Dorénavant, ils commercialisent des « assistants d’aide à la conduite » (AAC), parfaitement légaux. Concrètement, les appareils n’indiquent plus l’emplacement précis des radars, mais annoncent la présence d’une « zone dangereuse » de 2 à 4 km… qui se recoupe souvent avec la présence d’un radar.